mercredi 27 octobre 2010

Développement durable


 

Développement durable


Selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le rapport Brundtland, le développement durable est :
« un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Deux concepts sont inhérents à cette notion :
  • le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité.
  • l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir »
Face à l'urgence de la crise écologique et sociale qui se manifeste désormais de manière mondialisée (changement climatique, raréfaction des ressources naturelles avec en particulier le rapprochement du pic pétrolier, écarts entre pays développés et pays en développement, sécurité alimentaire, perte drastique de biodiversité, croissance de la population mondialecatastrophes naturelles et industrielles), le développement durable est une réponse de tous les acteurs (États, acteurs économiques, société civile) pour reconsidérer la croissance économique à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects environnementaux, culturels et sociaux du développement.
Il s’agit aussi, en s’appuyant sur de nouvelles valeurs universelles (responsabilité, participation écologique et partage2, principe de précaution, débat3 …) d’affirmer une approche double :
  • Dans le temps : nous avons le droit d’utiliser les ressources de la Terre, mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations futures ;
  • Dans l’espace : chaque humain a le même droit aux ressources de la Terre (principe de destination universelle des biens).
Tous les secteurs d'activité sont concernés par le développement durable : l'agriculture, l'industrie, l'habitation, l'organisation familiale, mais aussi les services (financetourisme,...) qui, contrairement à une opinion quelquefois répandue, ne sont pas qu'immatériels.


editeur:wikipedia
mercredi 27 octobre 2010
disponoble sur: http://fr.wikipedia.org/wiki/Développement_durable


Des foret 





Lorsqu'on aborde la question des forêts du Québec, on songe d'abord à leur immensité. En effet, sur une superficie totale de 1,7 million km2, nos forêts couvrent près de 761 100 km2, soit près de la moitié du territoire québécois.
Les Québécois sont collectivement propriétaires d'environ 92 % du territoire du Québec, dont plus de la moitié est couvert de forêt à valeur commerciale.

Les forêts privées appartiennent à près de 130 000 propriétaires et couvrent 70 000 km2,dont 66 246 km2 de territoires forestiers productifs.
Comme le domaine forestier québécois s'étend sur sept degrés de latitude, il n'est pas étonnant d'y trouver trois grandes zones bioclimatiques qui présentent chacune des caractéristiques bien particulières.
Si vous êtes intéressé à en savoir un peu plus sur la façon dont se divise le territoire forestier public, sur les richesses qu'il recèle et sur la place qu'occupent les forêts privées dans l'économie rurale, consultez les sections suivantes :


  • Éditeur: ressource naturelle et faune
    mercredi 27 octobre 2010





    Des arbres



    Dans un arbre, on distingue deux catégories d'éléments :
    • les feuilles (ou nœuds externes), éléments ne possédant pas de fils dans l'arbre ;
    • les nœuds internes, éléments possédant des fils (sous-branches).
    La racine de l'arbre est l'unique nœud ne possédant pas de parent. Les nœuds (les pères avec leurs fils) sont reliés entre eux par une arête. Selon le contexte, un nœud peut désigner soit un nœud interne, soit un nœud interne ou externe (feuille) de l'arbre.
    La profondeur d'un nœud est la distance, i.e. le nombre d'arêtes, de la racine au nœud. La hauteur d'un arbre est la plus grande profondeur d'une feuille de l'arbre. La taille d'un arbre est son nombre de nœuds (en comptant les feuilles ou non), la longueur de cheminement est la somme des profondeurs de chacune des feuilles.
    Les arbres peuvent être étiquetés. Dans ce cas, chaque nœud possède une étiquette, qui est en quelque sorte le « contenu » du nœud. L'étiquette peut être très simple : un nombre entier, par exemple. Elle peut également être aussi complexe que l'on veut : un objet, une instance d'une structure de données, un pointeur, etc. Il est presque toujours obligatoire de pouvoir comparer les étiquettes selon une relation d'ordre total, afin d'implanter les algorithmes sur les arbres.
    Les fichiers et dossiers dans un système de fichiers sont généralement organisés sous forme arborescente. Voir par exemple la FHS.
    Les arbres sont en fait rarement utilisés en tant que tels, mais de nombreux types d'arbres avec une structure plus restrictive existent et sont couramment utilisés en algorithmique, notamment pour gérer des bases de données, ou pour l'indexation de fichiers. Ils permettent alors des recherches rapides et efficaces. Nous vous en donnons ici les principaux exemples :
    • Les arbres binaires dont chaque nœud a au plus deux fils : ils sont en fait utilisés sous forme d'arbres binaires de recherche, de tas, d'AVL, ou encore d'arbres rouge-noir. Les deux derniers exemples sont des cas particuliers d'arbres équilibrés, c'est-à-dire d'arbres dont les sous-branches ont presque la même hauteur.
    • Les arbres n-aires qui sont une généralisation des arbres binaires : chaque nœud a au plus n fils. Les arbres 2-3-4 et les arbres B en sont des exemples d'utilisation et sont eux aussi des arbres équilibrés.

    Éditeur:wikipedia
    mercredi 27 octobre 2010













1 commentaire:

  1. Travailnon conforme et à refaire entièrement en respectant toutes les consignes

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